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28 octobre 2022 – 29 janvier 2023
En 2021, en Aveyron, le produit de la tonte des Lacaune n’a pas trouvé preneur.
Le COVID et la chute des exportations vers la Chine ont plombé le marché de la laine.
La laine n’est qu’une ressource dérisoire pour l’éleveur laitier, mais je me demande
combien de tonnes de laine on obtient, rapportées à la biomasse ovine mondiale,
combien de tonnes de polyester les remplacent avant de finir en microfibres dans l’océan.
La fin d’un corps-à-corps entre animaux ?
Combien de big bags de laine brute faudrait-il pour remplir la VRAC du sol au plafond,
pour faire une « grotte de mouton », réaliser une installation vidéo ethno-spéléo-zoologique ?
En 2022, je me porte acquéreur des 300 kilos de laine annuelle de Saint-Martin du Larzac.
Début juin, Bärbel et moi filmons la tonte.
Ni les brebis, ni les bergers n’aiment ce jour-là.
Les bousculades, lors de la division du troupeau en lots qui précède la venue des tondeurs,
font parfois des victimes parmi les bêtes.
Je comprends que nous n’ayons pas été invités à filmer dès le matin afin de ne pas ajouter au stress.
Il me souvient que la présence de L214 sur les terres du Roquefort il y a quelques années avait alerté,
suffisamment pour que l’information circule aussi chez les petits exploitants.
Un grand merci à Chantal, Thomas et Romain
pour nous avoir permis, comme nous aimons à le faire, de documenter les gestes.
BM
Brice Morel est né à Paris en 1974. Il a été employé au service audio-visuel du Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, projectionniste au cinéma Georges Méliès à Montreuil, animateur d’ateliers de création vidéo pour enfants ou adultes. À partir de 2007, il collabore comme assistant technique ou artistique pour divers artistes, et travaille des projets multimedia avec l’artiste plasticienne Bärbel Pfänder rencontrée à Tourcoing au Studio national des Arts contemporains du Fresnoy. Il vit et travaille à Millau depuis 2017.
du 8 juillet au 16 octobre 2022
Entretien avec Daniel Dezeuze réalisé par Nicolas Wöhrel pour Radio Larzac, le 8 juillet 2022 :
du 22 avril au 3 juillet 2022
entretien avec Mehryl LEVISSE par Nicolas WÖHREL pour RADIO LARZAC, le 17 mai 2022
Mehryl Levisse est un artiste franco-italien né à Charleville-Mézières.
Il est diplômé d’un Master en Théorie et Pratique de l’Art Contemporain et des Nouveaux Médias.
Dans son travail, le corps n’est pas une finalité mais un commencement, un matériau malléable et adaptable aux idées. Mehryl Levisse se met en scène dans des environnements de fortune, des performances ou des costumes colorés, minutieux, complexes et exubérants. Ses installations sont immersives et ses captations photographiques (terme personnel au travail de l’artiste) questionnent, parodient la société et utilisent le corps comme s’il était un objet. La transversalité de son travail – il a pratiqué la danse (classique, moderne jazz, contemporaine) – l’incite à collaborer avec des philosophes, théoriciens, chorégraphes, marionnettistes, chercheurs, danseurs, sociologues… qui nourrissent et enrichissent tant son processus de recherche que ses créations.
En 2011 il part à Casablanca travailler au sein de l’association l’Atelier de la Source du lion, un espace de recherche, de rencontres et de création créé en 1995, qui lui permet une immersion dans le contexte social et culturel marocain. Durant cette période, il assiste l’artiste plasticien Hassan Darsi ainsi que de la danseuse-chorégraphe Meryem Jazouli, fondatrice de l’Espace Darja, unique espace de danse contemporaine au Maroc. Il reste depuis très lié avec ces deux structures et basé en partie à Casablanca, il fait depuis des allers-retours régulier entre la France et le Maroc. Cette même année 2011, afin de palier à l’absence de structure et de programmation dédiée aux arts visuels à Charleville-Mézières, il fonde Balak, un espace temporaire d’art contemporain qui ouvre les portes d’une exposition une à deux fois par an (www.espacebalak.org). Charleville-Mézières devient alors son terrain de recherche et d’expérimentations artistiques par lequel il invite des artistes et chercheurs du monde entier à venir créer et penser en fonction de ce territoire délaissé des politiques culturelles publiques.
Queer, engagé et militant, tout son travail utilise le motif (pattern) et l’ornement, convaincu qu’ils ne sont jamais neutres et qu’ils sont toujours le véhicule de normes et de valeurs. C’est au travers de médiums tels que le papier peint, l’installation in-situ, le costume et la performance qu’il explore les frontières, les enjeux sociologiques et les représentations archétypales, hétéronormatives, discriminatoires et oppressives du corps. Issu des cultures alternatives et de la scène underground, Mehryl Levisse a commencé son parcours en exposant dans des caves, festivals, raves, donjons BDSM… son travail nourri de ces esthétiques et de ces codes se mêle à des éléments autobiographiques, questionne le genre, la (dé)construction de l’identité, la sexualité et s’entrecroise en permanence avec son engagement militant, social et politique pour défendre la cause LGBTQIA+. Très conscient des nombreuses problématiques qui entravent le quotidien des personnes queer, la question des interactions de l’artiste avec son environnement devient alors centrale chez lui : comment une œuvre peut-elle initier un dialogue une fois sortie de son contexte habituel ?
Pour lui, être artiste est un acte citoyen, et tout artiste se doit d’être engagé. Ainsi, ses interventions sont toujours reliées à un combat social, comme celui pour l’acceptation des communautés LGBTQIA+ ou la démocratisation de la culture artistique, y compris jusqu’aux milieux défavorisés. Peu convaincu par l’efficacité des politiques publiques de gratuité des musées, qui, en fin de compte, attirent principalement des visiteurs familiers de ces lieux culturels, Mehryl Levisse préfère sensibiliser à l’art en rendant le spectateur actif.
Il a exposé dans des projets, galeries et institutions internationales telles que : le SCAD Museum of Art, Savannah, solo 2021 / BIENALSUR : Biennale Internationale d’art contemporain d’Amérique du Sud, Buenos Aires 2021 / BISO : Biennale Internationale de sculpture de Ouagadougou, Burkina Faso 2021 / la Villette, Paris, performance Horama 2021 / le Musée des antiquités de Rouen, solo 2021 / l’International Center of Photography, New-York, exposition collective #ICPconcerned 2020 / l’Institut Français de Casablanca, solo 2019 / le Centre Pompidou, projet solo Images artifices au Studio 13/16, 2016, puis activation de la performance le Travball en 2018, puis Paradisaeidae cycle de performances dans le musée en 2019 pour La création en famille, Centre Pompidou pour lequel il a réalisé l’affiche de la saison jeune public 2019/2020 / la Biennale de l’Image Tangible, Paris 2018 / le Mac Val, Val-de-Marne, exposition collective Tous des sangmêlés 2017 / le Musée de la Chasse et de la Nature, Paris, Fête de l’Ours 2017 & 2018, l’un de ses masques fait partie de la collection musée / la Bibliothèque des Arts Décoratifs, solo 2017 dont l’œuvre in-situ est devenue pérenne / la Galerie Catinca Tabacaru, New-York, solo 2017 / le Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes (biennale) pour lequel il a réalisé l’affiche 2017 / le Musée Arthur Rimbaud, installation monumentale in-situ, Charleville-Mézières 2017 / le Frac île-de-France, solo dans la vitrine de l’Antenne, 2016 / la Galerie Bertrand Grimont, Paris, solo 2018 / le MO.CO Montpellier, exposition collective 100 artistes dans la ville 2019 / Nuit Blanche Paris 2019 / la Biennale Internationale de Poésie, Charleville-Mézières 2020 / la Biennale Internationale de Casablanca, Maroc 2018, entre autres.
Il a collaboré avec la Cité Internationale de la Tapisserie d’Aubusson et réalisé une tapisserie qui a été inaugurée en septembre 2020. Il a réalisé une performance et un film en collaboration avec l’Opéra National du Rhin, l’Université de Strasbourg et la Bibliothèque Nationale Universitaire en 2021 pendant le confinement et l’épidémie de covid19.
Son travail vient d’entrer dans les collections du FRAC Artothèque Nouvelle-Aquitaine, du FRAC Bretagne ainsi que dans les collections du Musée de l’âne à Tanger et du Musée Arthur Rimbaud à Charleville-Mézières. Il fait partie de la prochaine YANGO Biennale : Biennale internationale de Kinshasa, République Démocratique du Congo 2022 et de la prochaine Ghetto Biennale, Port-au-Prince, Haïti 2022. Il présente une nouvelle performance lors de Performa 24 à Milan en avril 2022, ainsi qu’une autre nouvelle performance au Musée Würth en juin 2022.
En 2021 il est lauréat de la bourse de la DILCRAH, Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT pour sa performance créée en 2018, le Travball, un sport inclusif joué par le public de tout âge et encadré par des Drags (mascottes, capitaines d’équipes, arbitres, cheerleaders) afin de lutter contre l’homophobie présente dans le sport et les stades, de contrarier les codes de l’hypervirilité encore tenaces dans le monde du sport, et de questionner la dimension genrée de ces manifestations publiques. Le Travball à été joué au Centre d’art de Malakoff, au Centre Pompidou, au FRAC Alsace, à France Télévision ainsi qu’à Nuit Blanche Paris.
Il est actuellement exposé au Musée des Beaux-Arts de la Chaux-de-Fonds (Suisse) dans l’exposition « Sortir du bois, à la lisière du style sapin » jusqu’en mai 2022. Sa nouvelle exposition personnelle Maquillarse en la oscuridad vient d’ouvrir à l’Institut Français de Madrid, jusqu’en avril 2022. En parallèle il est en résidence au FRAC MECA durant l’année scolaire septembre 2021 / juin 2022 pour mener un projet avec une classe de Bac pro – Métiers de la forêt.
le site de l’artiste : www.mehryllevisse.fr
du 18 février au 17 avril 2022
Les murs ont des oreilles et le ciel a des yeux. Partout se faufilent les ondes, les câbles sous les océans. Les mateurs veillent, sous veillent, surveillent. Nous sommes tous surveillés, pris comme des bancs de poissons dans les filets des réseaux. Les mateurs matent. Ils voient tout, observent, savent tout. Et ils veulent encore plus en voir, en capter, et ils veulent encore plus épier, contrôler, et encore plus et plus attraper, collecter, répertorier, enregistrer.
Dans quelques instants, passera peut-être au-dessus de vos têtes un satellite de surveillance qui pourra voir jusque dans votre salle de bain. Ce satellite se sert d’un radar à synthèse d’ouverture, ou SAR [ou RSO]. C’est un peu comme les dauphins et les chauve-souris qui utilisent l’écholocalisation. C’est super, non ?
Pierre Tilman
26 novembre 2021 – 6 février 2022
« depuis quelques années j’explore à petites touches un objet invisible à force d’être présent : la chaise. cet objet commençait à détruire mon dos d’écrivaine quand je me suis levée pour me mettre à danser il y a une douzaine d’années. depuis souvent je danse avec cet objet à quatre pattes qui se greffe au corps humain sous nos latitudes à partir du cours préparatoire. de cette confrontation est né un projet, qui, comme d’autres de mes projets souvent, a mis du temps à se déployer dans le temps, depuis la première ébauche en 2014, jusqu’à aujourd’hui. un de ces projets de performance/installation à géométrie variable qui couvait et qui, soudain, avec les confinements successifs, a rencontré le désir de celles et ceux qui se sont retrouvé en… état de siège. après l’avoir décliné sous forme de gestes artistiques éphémères à l’École supérieure d’art et de design de Valenciennes et au collège de Petite-Forêt, à l’occasion d’une résidence-mission sur le territoire de Valenciennes métropole, j’ai eu envie, en réponse à l’invitation de la V.R.A.C., d’en concevoir une version publique et sonore. »
Louise Desbrusses explore les intervalles entre des états, des moments, l’un qui déjà n’est plus, et l’autre qui peut-être va surgir, entre mort d’une chose et naissance d’une autre. C’est ceci et c’est aussi cela et c’est encore autre chose. Et. Et, car l’expérience de la vie n’est pas univoque, mais multivoque, organique et qu’il s’agit de cela : de l’expérience de vivre, cette expérience que nos corps rendent possible, qu’elle met en mots, mouvements, images, installations. Auteure de deux romans publiés chez P.O.L, Louise Desbrusses est performeuse, photographe et vidéaste. Professeure associée de l’Institut Tamalpa fondé par la chorégraphe américaine Anna Halprin, elle a notamment adapté et interprété I think not, de la chorégraphe américaine Deborah Hay, créé Le corps est-il soluble dans l’écrit ? Conférence dansée au Phénix, scène nationale (Valenciennes) dans le cadre du Cabaret de Curiosité, et plus récemment In extenso avec le contrebassiste Louis-Michel Marion. Pendant les confinements, elle a publié en accès libre (myowndocumenta.art) des partitions à activer, puis conçu et animé Prendre position, projet participatif de vidéo-danse. Cet été elle a rejoint le Bureau des paysages en mouvements, porté par l’Université de Toulon et l’Ecole Supérieure d’Art et de Design Toulon Provence Méditerranée.
entretien avec Louise DESBRUSSES par Nicolas WÖHREL pour Radio Larzac, novembre 2021
17 septembre – 21 novembre
vernissage vendredi 17 septembre à 18h30
en présence des artistes
À l’occasion de cette nouvelle collaboration proposée par la V.R.A.C. dans sa 12ème année de fonctionnement, Manuela Ferreira et Yves Caro ont décidé d’associer de nouveau leurs travaux. Cette fois sous la forme d’une maquette d’un théâtre. Décor d’un spectacle pour enfants (petits et grands) où les textes de Yves Caro côtoient les gouaches de Manuela Ferreira.
entretien avec Yves CARO et Manuela FERREIRA par Nicolas WÖHREL pour Radio Larzac, septembre 2021
Yves CARO sur vimeo, sur YouTube
Vidéos de Yves Caro et Manuela Ferreira
2006. ALPS (interlude*)
2007. FLEURS (interlude)
2008. ACQUA ALTA (Pour Karel Zeman)
2008. ATTENDRE ENSEMBLE (interlude)
2009. Ensemble, tout semble plus beau. PPCM Galerie. Nimes.
2009. Oh quel beau déni que le débit de l’eau. Abbaye Saint-André- Centre d’art contemporain. Meymac.
2010. CHARLES ET RENÉ (interlude)
2016. FÉLICITÉ
*Interludes : Petites pièces » d’ameublement » courtes et variées / Écritures au gré du temps et des envies du moment / Études parfois graves, souvent légères / Ping-pong à quatre mains.
& Élisa SABATHIÉ
3 juillet – 12 septembre
À la fois peintre, illustrateur, graphiste, gribouilleur, performeur, commissaire d’expositions.
Je passe du noir et blanc à la couleur, du petit au grand format… je n’hésite pas à voler des images de magazines, mode, actualité, image pornographique….pour me les approprier à l’encre de chine ! Je passe du papier et pinceau à l’ordinateur. Je scanne et je mets en couleur sur l’écran à l’aide de logiciels.
J’ai publié de nombreux ouvrages aux éditions spécialisées en bande dessinée comme celles des Requins Marteaux, de L’Association, ou encore de Ouï-dire productions. J’ai illustré des articles pour divers journaux et magazines de la presse nationale tels que Libération, Le Monde, Le Figaro-Madame, Psychologies, Biba, Les Échos….. les Éditions Verticales ont publié un roman graphique intitulé ‘’Encore mort, déjà vivant’’ écrit par l’auteur et journaliste Arnaud Viviant.
Ce qui m’intéresse, c’est quand il ne se passe rien ! Ne pas montrer mais suggérer, renvoyer le spectateur à travers mes images à son propre imaginaire. Pour moi une image, (dessin, peinture , écriture) est bonne quand elle réussit à saisir ce moment où les gens se mettent à confondre espace public et espace privé et qu’ils s’approprient cet espace là…
Mes images scrutent, fouillent la banalité, la cocasserie ou la mélancolie des dérapages de la vie quotidienne.
bouts de vie !
Je vis et je travaille à Rignac (Aveyron). Je suis né en 1955 à Rodez.
1975 fin d’études secondaires – je travaille le dessin et la peinture à Paris
1984 je m’installe dans l’Aveyron comme illustrateur-graphiste – je crée des logos, des affiches, des environnements graphiques pour des associations, des entreprises, des administrations – je suis un acteur de la vie culturelle de ma région – je participe à de nombreuses expositions à travers Midi-Pyrénées – je collabore à une revue de bandes dessinées avec LES REQUINS MARTEAUX.
1996 je travaille comme illustrateur avec la presse nationale LIBERATION – LE MONDE – PREMIERE – LE FIGARO-MADAME – LE POINT – BIBA – L’EXPRESS – PSYCHOLOGIES – TELERAMA etc…
1999 je participe à Comix 2000 (L’ASSOCIATION) – j’expose au Regard Moderne galerie-librairie
2000 parution chez VERTICALES d’un roman graphique « encore mort, déjà vivant » écrit par Arnaud VIVIANT – parution chez les REQUINS MARTEAUX d’un album de bandes dessinées : « Otari Larsen, amour, nuit et jour » écrit par Marc PICHELIN.
2001 je dessine pour les ECHOS – LE NOUVEL OBSERVATEUR – CENTRE-PRESSE….
2002 parution chez les REQUINS MARTEAUX d’un album de dessins – résidence à COLOMIERS « POUR MOI LE CIEL » (portrait de la ville) en compagnie d’un photographe et de deux électroacousticiens, compagnie ‘‘OUIE DIRE’’
2003 atelier de pratiques artistiques en milieu psychiatrique à RODEZ – mediateur culturel de la ville de RIGNAC – j’expose à la galerie LE RIRE BLEU à FIGEAC – ateliers de pratiques artistiques avec le musée FENAILLE.
2004 j’expose à la galerie municipale de la ville de CAHORS .
2005 installation dans un jardin de VILLEFRANCHE-DE-ROUERGUE pour la manifestation rendez-vous aux jardins – j’expose avec Kristof GUEZ (photographies) portraits de gens de la communauté des communes du pays rignacois, à l’espace culturel de Rignac.
2007 j’expose à COLOMIERS en septembre-octobre au centre culturel
2008 en février j’expose à la médiathèque de GANGES
2009 « papiers peints » j’expose à la galerie St Catherine – édition d’un cahier dessiné et d’un papier peint
2010 commande portrait d’usine suite de dessins à la gouache pour le moulin Calvet à Rignac, j’expose une rétrospective de mon travail à l’Espace Culturel de Rignac ; j’expose à l’Espace Bellegarde TOULOUSE
2011 j’expose à St HYPPOLITE DU FORT ‘’carnets de voyage’’
2013 je participe à une exposition collective ‘’Bande Dessinée’’ à la maison des Arts à CAJARC ; édition d’une boite sérigraphiée regroupant 52 dessins – achat de cette boîte par l’arthotèque du Lot
2014 mise en place de grandes bâches dans le centre ville de Rodez ‘’street art’’ autour d’une histoire de couple – résidence en Corse dans le village de Marignana
2016 résidence collective en POLOGNE à KIELCE, invité dans un monastère autour d’un portrait de la ville, expo et édition
2017 j’expose avec 15 artistes aveyronnais dans le musée municipal de NINGBO ville proche de SHANGAI ; invitation d’une semaine avec visite et échange de 20 artistes chinois ; en mai en Aveyron j ’expose avec des graveurs à TOULOUSE au musée de l’Affiche
2018-2019-2020 je participe à la creation d’un atelier de lithographie à DECAZEVILLE – j’interviens sur plusieurs projets en pratiques artistiques dans différents établissements, EHPAD, MAISON D’ARRET, COLLEGES et FOYER DE VIE….